Commentaires sur Mouvance et espérance, depuis avril 2025:
- Jean-Louis Grosmaire
- 2 juil.
- 6 min de lecture

Bonjour,
Voici les premiers commentaires au sujet de Mouvance et espérance, qui vient de paraître:
« Je viens de terminer Mouvance et espérance dont le sujet m’intéressait particulièrement afin de mieux connaître l’histoire des Acadiens et la nôtre.
Relater l’histoire triste et dramatique de cette guerre n’est certainement pas rigolo, mais l’intrigue amoureuse a su montrer combien l’espoir peut jouer un rôle important au cœur des combattants.
Les personnages sont attachants, que ce soit Tonin, Bourguigon, Delphine, mais aussi Thérèse avec son chien Létoile et les deux enfants adorables, Bertrand et Jeanne. Les descriptions nous dévoilent bien ce qui a marqué l’âme de chacun.
Je retiens deux passages empreints de philosophie, “Le pire ennemi de l’homme…” page 69 et “Les réfugiés ont souvent les yeux intérieurs…” p.211.
Félicitations pour ce travail rigoureux qui fourmille de références et est riche en images, vocabulaire, énumérations et descriptions. »
F. P, Québec, le 8 avril 2025
« Mouvance et espérance est écrit d’une main de maître. C’est un roman d’atmosphère rédigé dans une prose poétique, on y retrouve le géographe qui a parcouru tous ces espaces pour cueillir âmes et paysages.
Visiblement, l’auteur a consulté des historiens chevronnés, il s’est solidement documenté, il a visité les lieux. C’est un livre-phare aux réflexions prégnantes , qui, en raison de l’actualité, revêtent une forte intensité.
Ce roman captivant nous offre un voyage passionnant dans le temps, auprès de personnages que l’écrivain, pour notre bonheur, a su attirer dans son capteur de rêves. »
M. B. avril 2025
« Un livre haletant… un vrai film… émotions… recherches historiques très intéressantes, un livre extrêmement bien documenté… » J.-.P.M fin avril 2025
« J’ai noté et apprécié la profondeur des recherches sur tous les aspects de ces événements si importants pour les Acadiens, qui sont malheureusement méconnus de la majorité des Canadiens. Cinq années de recherche et d’effort : c’est tout un bail… C’est un travail de bénédictin…
L’auteur nous tient en alerte dans une écriture recherchée sans être inaccessible. Un beau tour de force. » F.C.-P. 29 avril 2025
« J’ai dévoré ce roman… Félicitations ! » C.P. avril 2025
« J’ai BEAUCOUP aimé ce livre… J’aime apprendre et j’ai été comblée. Merci encore. »
S.B. 28 avril 2025
« J’ai suivi avec frémissement les aventures de Tonin, de Delphine, de Bourguignon et de Marie-Josephte
J’ai aimé le style, fluide et évocateur. .. des trouvailles rapprochent la prose de l’auteur d’une forme de poésie, surtout ancrée dans la nature.
P. 62 : Les bagages les plus lourds sont ceux du cœur. Cela pourrait être un proverbe !
· P. 82 : Des armes aux larmes, il y avait peu.
· P. 153 : Cependant, Jeanne était comme une vieille dame jeune…
· P. 304 : Vous exercez le métier des armes, nous celui des âmes
· P. 427 : Ça grêle de partout, ça tonne, ça pète, ça claque, ça casse, ça détruit, ça étincelle, ça brûle, ça tue.
J’ai souligné bien d’autres belles trouvailles stylistiques,
Ensuite, j’ai aimé la formidable recherche historique, et les innombrables mentions en bas de page qui sont comme des ancrages et des colonnes solides pour soutenir l’ouvrage.
Enfin, l’auteur a fort bien réussi à ancrer une vérité historique dans une aventure romantique.
L’auteur a de nouveau évoqué la Franche-Comté, son ancrage dans la vie.
Bravo encore, et toutes mes félicitations. »
J.M.F., Ottawa, 16 mai 2025
« … Ce que j’ai le plus aimé dans ce roman, c’est la sensibilité particulière que l’on retrouve, diffuse, dans l’âme des personnages, leurs pensées, leurs paroles, mais aussi dans les paysages. Il est difficile d’épingler un passage représentatif tant la justesse de la narration rend tout cela naturel et aussi impalpable que la grâce d’un visage. Je retiens surtout les moments où les êtres se rencontrent, se reconnaissent.
Tout le paragraphe de la page 204 qui commence par « Cette fois-ci… » aurait pu être titré « Comment éterniser un instant ? » Dans le fond, Jean-Louis Grosmaire écrit pour saisir ces instants où le temps s’arrête.
J’ai eu le plaisir avec Mouvance et Espérance de redécouvrir l’histoire de mon pays. Une guerre se résume souvent à deux dates, début et fin. On oublie qu’entre ces deux termes, les gens ont souffert au quotidien, sans savoir ce que l’avenir leur réservait. La Déportation des Acadiens ne tient pour moi que dans le temps de dire « 1755 ». Ce roman lui restitue une durée peuplée de drames, de souffrances, de craintes et d’espérance. L’histoire avec Jean-Louis Grosmaire s’incarne chez chacune des personnes qui l’ont vécue.
… Les cartes. Qui donc aurait pu suivre les pérégrinations de ces personnages sans elles ?
« Elle n’avait d’âge que celui de sa lumière. » (p. 147)
(C’est ma conclusion.)
H. L., Gatineau, 18 mai 2025
L’auteur a eu une excellente idée de raconter l’Histoire à travers ce couple au destin cruel.
J’ai vraiment appris beaucoup par ces écrits et suis persuadée que ce livre va rencontrer un grand succès.
Il faut dire que la manière dont l’auteur aborde les sujets, rend ces derniers vraiment très accessibles à chacun.
BRAVO!
E.R., en Suisse, le 2 juin 2025
… voici une merveilleuse mise en scène de l’histoire imaginée d’un couple ayant vécu toutes les péripéties de la déportation des Acadiens avec une exactitude historique hors du commun.
Je manque de mots pour décrire toutes les émotions que j’ai ressenties… Ce roman porte en lui matière à élaborer soit un film, mais il faudrait trop couper et les choix seraient déchirants, soit une série pour la télé. Les personnages sont très bien construits, forts et diversifiés. L’auteur a couvert toutes les perspectives importantes : les Acadiens, les soldats français et anglais, les peuples autochtones que tu n’as pas oubliés, les hommes, les femmes et les enfants.
Quelle richesse de vocabulaire en plus avec non seulement des perles d’Acadie, mais des trésors des parlers comtois ! Le style littéraire variable accompagne merveilleusement bien cette épopée avec tantôt des élans patriotiques ou lyriques, tantôt des segments plus historiques ou romanesques selon les circonstances. Et quelle poésie dans toutes les images évoquées !
Je me doute bien qu’il doit y avoir des années de recherche et de documentation, sans compter les années de création et d’édition. Quelle bibliographie riche et que de notes en bas de page parmi lesquelles le lecteur pressé ou curieux peut choisir (dans une première lecture ou dans une prochaine). J’étais tellement prise dans l’histoire que je ne voulais pas m’arrêter pour lire la majorité, mais je reste convaincue qu’une seconde lecture m’enrichira davantage quand je prendrai le temps d’approfondir, car on sent la qualité de la recherche historique qui sous-tend toute l’aventure et les mésaventures de tous ces personnages auxquels nous nous sommes attachés en cours de lecture.
Tonin et Delphine ont réussi l’exploit de remplacer pour moi le couple mythique d’Évangéline et de Gabriel, associé à l’histoire de la déportation des Acadiens.
Même le choix de la page couverture n’a pas été laissé au hasard avec la Côte de Louisbourg de William Brymner. Les mouvances océaniques ou les effluves du Saint-Laurent sont omniprésents dans ce récit aux eaux iodées et constituent en quelque sorte un personnage clé de cette épopée. On entend la musique de la nature également tout au long du récit, tant sur l’eau que sur les terres.
J’ai apprécié le clin d’œil à la prochaine génération avec les savoureux personnages de Bertrand et de Jeanne auxquels tu confies des rôles significatifs dans leur propre évolution comme humain et comme membre de leur communauté.
Bref, avec Acadissima, l’auteur offre deux perspectives fascinantes de l’Acadie où les horreurs des guerres laissent tout de même place à l’espoir dont nous avons tant besoin dans le contexte actuel.
Pour moi, c’est sans contredit son œuvre la plus achevée.
Toutes mes plus sincères félicitations Jean-Louis pour ce roman captivant, émouvant, attachant et instruisant.
F. C-P., Gatineau, le 22 juin 2025
Quelle lecture captivante et enrichissante ! J’ai savouré le livre du début à la fin !
Authentique cours d’histoire et de géographie ; enfin, le vrai récit de la déportation des Acadiens, enrichi de toutes ces références bibliographiques ; ça pourrait constituer une thèse de doctorat !
J’ai reconnu l’humanisme et la sensibilité de l’auteur tout au long de cette lecture.
Je me suis attachée à tous ces personnages, à leur souffrance, mais aussi à leur résilience. L’auteur nous fait vraiment sentir le drame qu’ils ont vécu pendant toutes ces années.
Merci Jean-Louis, pour ce précieux legs aux Québécois que nous sommes !
Toute mon admiration !
M.P., Québec, le 26 juin 2025
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